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Ce sont les ménages aux cartes de crédit trop remplies, la hausse des prix immobiliers et le surendettement qui touche l’économie dans son ensemble qui nourrissent les risques élevés au Canada. Et ce, malgré des performances économiques toujours en hausse depuis 2011.
«Les indices démontrent une hausse des facteurs de risque dans de nombreuses économies», préviennent les analystes Inaku Aldasoro, Claudio Borio et Mathias Drehmann dans la dernière revue trimestrielle de la Banque publiée dimanche et rapportée par Bloomberg.
Certains résultats de l’étude laissent perplexe. Pensons notamment à l’Italie qui, malgré une économie au lent taux de croissance et des banques qui croulent sous les dettes, ne figure pas dans la liste des économies à risque.
Bien que la Chine soit pointée du doigt par l’étude, l’un des indicateurs clés de l’étude, soit la différence entre le ratio du crédit par rapport au produit intérieur brut(PIB) à long terme, s’améliore. Cela peut suggérer que le gouvernement a fait des progrès dans ses démarches pour réduire le risque engendré par le secteur financier.
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