Le marché immobilier au Québec en 2025 : une forte dynamique Le marché immobilier au Québec est en pleine croissance. Les prix augmentent et la concurrence se renforce. Plusieurs facteurs expliquent cette situation. Les prévisions pour 2025 sont globalement optimistes. Examinons les éléments clés à prendre en compte. Hausse des prix en 2025 Selon Royal
Bulletin JLR-Les Affaires. Les ventes enregistrées au cours du mois d’avril 2019 et les prix ont augmenté dans les trois catégories de marché résidentiel analysées en comparaison à avril 2018, et ce, pour l’ensemble de la province.
Ventes d’unifamiliales au Québec
D’après les actes publiés au Registre foncier du Québec et colligés par JLR (incluant les ventes par courtier, entre particuliers et les constructions neuves), 81 740 maisons unifamiliales ont été vendues au Québec au cours des douze derniers mois. Ce résultat est 3 % supérieur à celui enregistré à la période précédente. En comparant le mois d’avril 2019 au mois d’avril 2018, 7 % plus de maisons unifamiliales ont changé de mains à travers la province.
De mai 2018 à avril 2019 inclusivement, le prix de vente médian des unifamiliales s’est établi à 249 900 $, une hausse de 3 % par rapport à la période antérieure. Cette croissance est similaire à celle observée en comparant le mois d’avril 2019 à celui d’avril 2018.
Ventes de copropriétés au Québec
Au cours des douze derniers mois, les ventes de copropriétés ont progressé de 10 % sur le territoire québécois par rapport aux douze mois précédents. De mai 2018 à avril 2019 inclusivement, le nombre de transactions pour des copropriétés s’est chiffré à 35 284. Seulement pour le mois d’avril, la croissance des ventes de copropriété s’élève à 16 % comparativement à avril 2018.
Sur douze mois, le prix de vente médian des copropriétés a atteint 249 900 $, un montant similaire à celui relevé à période comparable pour les unifamiliales. Il peut sembler étonnant au premier regard que les copropriétés aient été échangées à un prix médian égal à celui des résidences unifamiliales au fil des douze derniers mois. En fait, à l’intérieur d’un même secteur géographique (par exemple, une ville ou un arrondissement), le prix médian des maisons est souvent plus élevé que celui des copropriétés. Toutefois, la majorité des copropriétés vendues à travers la province sont situées dans des villes plus chères et cela tire la statistique de prix vers le haut.
Par exemple, de mai 2018 à avril 2019 inclusivement, près de 80 % des copropriétés qui ont changé de main au Québec se trouvaient sur le territoire de la RMR de Montréal. Parmi celles-ci, 56 % étaient situées sur l’île de Montréal (région administrative) et ont été échangées pour un prix médian environ 28 % plus élevé que celui enregistré pour les copropriétés dans l’ensemble du Québec durant la dernière année. À l’opposé, une grande proportion des maisons unifamiliales sont vendues dans des villes plus abordables. Toujours pour la même période de douze mois, 60 % des maisons unifamiliales acquises à travers la province se trouvaient à l’extérieur de la RMR de Montréal, dans des régions moins dispendieuses.
Enfin, en comparant le mois d’avril 2019 au mois d’avril 2018, le prix médian des copropriétés a augmenté de 8 % à l’échelle de la province.
L’indice d’accessibilité à la propriété (AP)
L’indice AP, estimé et présenté par JLR, mesure l’accès à la propriété au Québec. En avril 2019, il a augmenté de 1,9 %, comparativement à avril 2018, pour s’établir à 95,5. L’indice AP du mois de mars dernier avait déjà enregistré un gain par rapport à l’indice AP de mars 2018 et la récente appréciation de l’indice d’avril 2019 relativement à avril 2018 est la deuxième à être enregistrée depuis juin 2016.
Toutes choses étant égales par ailleurs, l’amélioration de l’accessibilité en avril 2019 vient du fait que le salaire hebdomadaire médian a augmenté davantage que le prix médian des maisons unifamiliales entre avril 2018 et avril 2019 (respectivement +5,2 % et +3,3 %). Cela dit, il est encore trop tôt pour parler d’un revirement de situation, puisque la tendance générale des derniers mois montre que l’accessibilité à la propriété se détériore depuis un certain temps déjà.
L’indice est basé sur le ratio salaire hebdomadaire médian (Statistique Canada)/paiement hypothécaire « type » rapporté en un indice base 100 (janvier 2010=100).
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Source: www.LesAffaires.ca SECTEURS >IMMOBILIER
Publié le 21/05/2019 à 16:42
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